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temoignages

Réda Benjelloun

Directeur des Magazines et des Documentaires 2M TV / Ancien Membre du Jury JRE

Dix ans, dix ans déjà…Des pavillons bleus flottent sur nos plages. Des jardins à travers tout le Royaume retrouvent leur fraîcheur et leur lustre d’antan. Des écoles respirent, sont éco responsables et constituent de véritables pépinières du citoyen de demain, aimant la vie et sachant la préserver… De toutes les actions de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement qui ont su changer notre quotidien, nous ouvrir les yeux sur notre environnement et la nécessité d’en prendre soin, le Programme Jeunes reporters est celui qui me semble le plus audacieux. Pari sur l’avenir, il a su stimuler de jeunes pousses pour qu’elles se saisissent, qui d’un stylo, qui d’un appareil photo, non pas pour s’inventer journaliste ou reporter d’un jour, mais, pour, petit à petit, se glisser naturellement dans les habits de celui qui enquête, vérifie, rapporte, parfois même dénonce les outrages faits à notre Nature au quotidien. Prenons juste le temps de feuilleter leurs travaux. Rien n’échappe à leur regard. Et, au-delà du prix, des lauréats et des cérémonies, la principale distinction, la leur et la notre, c’est que ces jeunes journalistes, et je suis fier de les appeler mes confrères, sont aussi des éducateurs au sein de leur foyer et de leur quartier. Ils sont devenus des passeurs d’idées, de comportements et de vigilances…La Fondation ne s’y est pas trompée, ces jeunes reporters sont désormais parmi ses piliers essentiels

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Sakina Bouachrine

Journaliste SNRT

Une grande satisfaction morale, c’est le noble sentiment, que j’ai éprouvé en portant à l’antenne télé le programme jeunes reporters pour l’environnement.

En donnant la parole avec son et image, aux élèves primés par la fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, j’ai pu mesurer la conscience environnementale de ces jeunes qui représentent les hommes et femmes du Maroc de demain. Ces jeunes ont démontré d’une grande volonté pour changer le cadre environnemental de leur quartier, ville et village. Ne ménageant aucun effort pour réussir leur mission d’enquête sur le terrain, ces jeunes primés sont considérés dans leur ville ou village comme des champions de la protection de l’environnement. Et c’est d’ailleurs ce que j’ai constaté de visu dans les différentes régions où nous avons réalisé plusieurs reportages pour sensibiliser les citoyens et responsabiliser les décideurs.

L’émission jeunes reporters pour la protection de l’environnement a connu un grand succès pendant de nombreuses années avec un but précis : Sensibiliser les citoyens et responsabiliser les décideurs !

Longue vie au programme jeunes reporters pour l’environnement qui fête cette année ses dix ans. L’environnement, c’est la vie ! A nous tous de la préserver la main dans la main pour aujourd’hui et demain !

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Leila Ghandi

Photographe et réalisatrice indépendante spécialisée dans le portrait documentaire

Nous ne sommes pas des héros, mais nous pouvons le devenir. Chacun à son échelle, à sa manière, à la hauteur de ses moyens. Il n’y a pas de petit ou de grand combat, il y a seulement l’engagement sincère, la volonté réelle, la détermination. Aujourd’hui nous pouvons dire la tête haute que nos jeunes, lycéens, collégiens, étudiants, sont plus que jamais sensibles et engagés pour un Maroc meilleur, un Maroc respectueux de son environnement.

La protection de l’environnement est l’affaire de tous. Les réponses à cet enjeu national et mondial, si elles peuvent être insufflées par les sphères politique et associative, ne peuvent prendre vie seulement si elles sont appliquées dans la sphère publique. Par chacun de nous. « Les petits ruisseaux font les grandes rivières », c’est vrai. Mais à condition d’être nombreux.

L’action de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement donne envie de faire partie du changement. Le programme « Jeunes Reporters pour l’Environnement » encourage les marocains à prendre acte, dès leur jeune âge, de l’importance de la protection de l’environnement et surtout, de l’impact que chacun de nous peut réellement avoir sur lui.

Le résultat est édifiant. Chaque année ce sont de plus en plus de jeunes marocains qui s’engagent pour la protection de l’environnement. Ils viennent gonfler les rangs de ceux qui ont pris conscience que la question environnementale est loin d’être une préoccupation abstraite ou lointaine.

Aujourd’hui, de Tanger à Dakhla et de Erfoud à Oujda, les écoles et les universités, riches de leurs jeunes reporters pour l’environnement, deviennent de véritables pôles de sensibilisation. Ce sont ces jeunes à présent qui contribuent, par leurs reportages, leurs photographies mais surtout par leur comportement et leur engagement individuel, à faire évoluer les mentalités, les pratiques, nos réflexes, notre regard sur l’environnement. Ils sont devenus de véritables passeurs, et j’y vois là le plus grand succès du programme. Car si les discours sensibilisent et attirent l’attention, rien n’a finalement plus de valeur que l’exemple. Ces jeunes peuvent être et sont la preuve par l’exemple. Ils agissent. Ils démontrent. Ils incarnent. Ils sensibilisent à leur tour. Simplement. Avec leurs mots, leurs gestes, leur sensibilité. Ils nous montrent la voie. Ils rééduquent les adultes.

Au-delà de cet enjeu environnemental je vois aussi dans ce programme un moyen utile et efficace de contribuer au renforcement du sentiment de citoyenneté et de la conscience civique. Quand on suscite en nous l’envie, voire le besoin, de respecter son environnement, on suscite aussi en nous l’envie, voire le besoin, de respecter notre rue, nos voisins, notre quartier, notre ville, notre forêt, notre région, notre pays.

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Ibtissam MANSOUR

Ancienne Lauréate 2003

Agréable, fantastique, extravagante, incomparable, splendide. . . Les mots ne me suffiront jamais pour décrire une telle expérience.

Prendre part à la compétition des « Young reporters » et remporter le prix du meilleur reportage sur les déchets m ‘a permis non seulement d ‘explorer le domaine du journalisme d ’investigation, mais de découvrir, en moi. « le petit faible » que j ’avais à la rédaction. « Œuvrer tel un Grand Journaliste ! »

C’était en effet un rêve d ”adolescente que je vois tendre vers la réalité et se concrétiser en « Job » de jeune adulte.

Ma participation à cette compétition avait scrupuleusement tracé ma carrière de professionnelle de l’Information et de la communication. Elle symbolise désormais, pour moi, un jadis point de départ sur la voie du journalisme et de la presse écrite.

Merci « Young Reporters »

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Hind KIRAT

Achats – Société Nestlé Maroc – Ancienne Membre du Jury JRE

Le Concours « Jeunes reporters pour l’Environnement est un programme qui permet à nos jeunes lycéens de dévoiler leurs talents artistiques, rédactionnels mais aussi de mesurer leur sensibilité à la cause de l’environnement. Ce sont eux nos futurs citoyens, nous devons les responsabiliser et les encourager à devenir des acteurs attentifs au respect de l’environnement

C’est un programme intelligent dans la mesure ou l’élève apprend par ses propres ressources et capacités intellectuelles. Il est surtout voué à sa sensibilité et à sa conception des enjeux du développement durable.

La spécificité de ce programme c’est qu’il est différent des programmes pédagogiques où l’enseignement traditionnel y domine, il a plutôt le privilège d’éveiller la conscience écologique des élèves, de leur procurer une autonomie et liberté d’expression. C’est une forme d’auto éducation et cette méthode est efficace pour sensibiliser et surtout prendre conscience des enjeux liés à l’environnement

Après 10 ans d’existence, le programme s’est fructifié avec des participations éminentes, croissantes et des prix obtenus à l’échelle internationale

Les œuvres des élèves et la pureté de leurs regards m’ont énormément touché et ému. Ils m’ont surtout ouvert les yeux et rappelé a quel point la préservation de notre terre est importante.

 

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Salah Benyamna

 

Directeur de Production – Agence de Médiation – Ancien membre du jury JRE

Alors qu’on se prépare à fêter la dixième année de vie de ce grand projet, les responsables ont tenu à convier les pionniers qui dès l’aube de ce projet se sont mobilisés pour contribuer à sa réussite tant la thématique était noble. C’est dans ce cadre, que j’ai tenu à mon tour, étant l’un de ces pionniers, à porter un témoignage modeste mais au niveau, je l’espère, de l’évènement.

Que dire d’un projet qui a tenu toutes ses promesses. Pour que ce témoignage ait une épaisseur de réalité, il faut revenir au tout début des années de ce troisième millénaire, lorsque l’idée était née, celle de faire élaborer par les élèves des lycées un sujet (reportage), qui traite d’un aspect de la problématique de l’environnement et sa conservation. On s’est vite aperçu que plus le sujet passionne les élèves, plus ces derniers étaient très peu préparés au style journalistique dans lequel il leur a été demandé d’écrire leurs productions. Quel défi avaient à affronter les élèves désireux de participer au projet. Et pourtant, ce défi sera très vite gagné moyennant une formation adéquate et un encadrement efficace. Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui par leur savoir, savoir-faire et compétence, ont réussi le pari.

Année après année, le répertoire des œuvres des élèves s’est constitué pour couvrir, enfin de compte, l’ensemble des thèmes possibles et imaginables. C’est d’ailleurs pourquoi, je joins ma voix à celles des autres personnes qui ont accompagné la naissance de ce grand projet « jeunes reporters » pour féliciter les élèves, les enseignants et les cadres qui veillent sur le projet et le gèrent.

Enfin, si on doit classer ce projet parmi ceux dits extra-curriculaires, il portera bien le nom de celui par lequel les élèves cherchent la réussite et l’affrontement du défi. La recherche de la réussite dans la conduite d’un projet citoyen sur la conservation de l’environnement et le milieu de vie – leurs milieux de vie.

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Manal YARROUDH

Lycéenne – Ancienne Lauréate 2014

La plupart des jeunes d’aujourd’hui ne s’intéressent pas à l’environnement, c’était mon cas avant de participer au programme des JRE. Ce reportage que nous avons réalisé sur le romarin dans le Maroc Oriental a enrichi mes connaissances concernant les problèmes qui menacent l’environnement dans notre région. Je saisis cette occasion pour remercier beaucoup la Fondation Mohammed VI pour tout ce qu’elle fait en faveur de la protection de l’Environnement. Mon rêve c’est de voir notre pays avec des forêts vastes, des plages propres, des villes sans pollution, beaucoup d’espaces verts avec des oiseaux, des papillons et des fleurs de toutes les couleurs … et je vais travailler pour que ce rêve devienne réalité inchallah. J’invite aussi tous les élèves à participer à ce programme : ça vaut la peine et je vous assure que vous allez vivre une bonne expérience qui restera gravée à jamais dans votre mémoire !! Je dis aussi aux jeunes que le plus important, ce n’est pas de gagner un prix, mais de participer et surtout de défendre l’environnement et de sensibiliser les gens.

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Taha Anabir

Auditeur – Ancien Lauréat 2003

Parcours : Suite à l’obtention de mon baccalauréat, branche sciences expérimentales en 2005, j’ai intégré l’Institut Supérieur du Commerce et de l’Administration des entreprises (ISCAE), pour une formation sur 4 ans, sur à laquelle j’ai eu mon diplôme du cycle normal (bac+4), avec comme spécialité finance d’entreprise, en 2009. J’occupe en ce moment le poste d’analyste risque crédit au sein de AttijariWafaBank, et ce depuis Août 2009, tout en préparant en parallèle mon master M2 Comptabilité, Contrôle de gestion et Audit, en partenariat avec l’université de Clermont Ferrand en France.

Expérience : L’expérience de 2003 fut des plus bénéfiques. En effet, de par le sentiment de responsabilisation, par lequel je me suis imprégné, le sens du travail en groupe, de l’impact de l’environnement sur notre quotidien, et de la recrudescence des effets néfastes de notre quotidien sur cet élément clé de la nature, je suis et resterai fier de ma contribution au niveau jeunes reporters de l’environnement, en espérant pouvoir vivre la continuité de cette magnifique aventure, entre les mains de nouveaux potentiels.

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Anas Benzakour

Directeur de Production- Agence de Médiation – Ancien membre du jury JRE

D’abord par la richesse des projets, photos, et initiatives des écoliers, à une époque où l’environnement n’en était qu’à ses balbutiements au Maroc. Ensuite par la richesse des échanges au sein de la commission d’évaluation.

L’impact des actions de sensibilisation de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement et, à travers elle, le programme « Jeunes reporters pour l’environnement, est incontestable. Il suffit pour cela de voir au quotidien l’importance de la cause environnementale auprès des écoliers et étudiants du pays. Un effort qui je n’en doute pas, se poursuivra auprès d’une population qui représente l’avenir de notre royaume.

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M. Lotfi abdelilah

Encadrant des lauréats des jeunes reporters – Professeur encadrant 2003

Grâce à l’encadrement soutenu par l’animateur du club d’environnement du lycée jaafar al fassi les élèves motivés ont donné beaucoup de satisfaction.leurs efforts se sont traduits par les récompences attribuées par la fondation mohamed VI tels que :

2003 : prix de la pertinence décérné par la fondation mohamed VI pour la protection de l’environnement.Sur la décharge publique de Mediouna.
2003 : prix international attibué par la FEE sur le théme les déchets ménagers solides de casablanca.
2005 : Grand prix national décérné par la fondation mohamed VI sur le thème les sociétés privées de la propreté de casablanca TECMED,SEGEDEMA ,SITA AL BAIDA.
2008 : prix de sensibilisation décerné par la fondation mohamed VI sur le thème du littoral de casablanca.
2010 :prix de la proximité décerné par la fondation mohamed VI sur le thème casa entre le laisser aller , le laisser faire et la gestion durable.

Les jeunes reporters ont appréhendé touts les problèmes qui touchent à l’environnement de la région du Grand casablanca dans le domaine foréstier,la qualité de l’air ,la gestion de l’eau et le transport urbain . Par conséquent ces facteurs nocifs agissent négativement sur la santé,la sérénité et la salubrité publique. Par ailleurs ,les journalistes en herbe ont déployé beaucoup d’efforts pour la collecte utile de l’informations,la prise des photos éloquentes Des interviews et des solutions réalistes. Les jeunes reporters du lycée jaafar al fassi ont prononcé un mot auprès de la chambre des conseillers au mois de juin 2010. Aussi, ils ont eu l’occasion de participer à la vidéo conférence à l’occasion de comménoration de la journée de la terre le 21 avril 2011 avec les jeunes de Qatar,de l’Inde et les USA pour échanger leur point de vue sur le thème de l’eau.

Des changement positifs ont été réalisés tels : la décharge publique de Mediouna Le tramway,le littoral labelisé (parvillou bleu-) le jardin d’Alesco-Jardin 20 aout-le jardin scolaire-projet du papier…etc. Partenariat avec l’école supérieuse du textile de l’Industrie et de l’habillement. partenariat avec l’association des parents d’élèves,l’AESVT.

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Younes Haoud

Master en Gouvernance et Management du Territoire – Ancien Lauréat 2003

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Anass IBAZ

Lycéens – Ancien Lauréat 2014

Mon intérêt pour le domaine de l’environnement a commencé au moment où j’ai commencé avec un groupe de copains à réaliser un reportage sur le romarin, une plante aromatique et médicinale très connue dans notre région. Cette expérience m’a permis de connaître l’importance du travail en groupe, d’aller sur le terrain, d’entrer en contact direct avec les responsables et les paysans, de prendre des photos, de faire des interviews, de prendre des notes, … J’ai vu des gens qui ont consacré tout leur temps à la terre qui est leur source de vie. Ils ont pu se regrouper dans des coopératives avec l’aide des autorités locales pour valoriser leurs produits et les commercialiser et participer au progrès économique et social de notre région. C’est vrai que le métier de journaliste est un métier fatigant et il demande des efforts considérables, mais quand on nous a dit que nous avons remporté le prix de l’excellence, nous avons tout oublié. Nous avons reçu cette information avec un grand bonheur et une immense joie. C’est également en travaillant sur ce sujet que nous avons réussi à passer à la télé, sur la première chaîne ALOULA, dans le journal télévisé en arabe et en français.

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Soumia ZAKI

Lycéenne – Ancienne Lauréate 2014

Personnellement, dans le passé je n’étais pas intéressée par le sujet de l’environnement, mais maintenant avec ce sujet, c’est une expérience réussie à cent pour cent et c’est grâce à notre professeur qui nous a beaucoup aidés. Pour moi, l’environnement c’est la vie et les responsables doivent créer des espaces verts dans les différentes régions du Maroc, car ces espaces naturels offrent un aspect magnifique et en même temps un espace de détente et de plaisir. Par exemple, pendant la période des examens, les étudiants ont besoin d’endroits appropriés pour la préparation dans le calme et le repos. D’un autre côté, je pense qu’il ne faut pas s’intéresser uniquement à des matières comme les maths, les sciences, le français, l’arabe, l’anglais, … mais il faut aussi donner plus de temps au club de l’environnement et aux autres clubs dans les lycées, ainsi que les activités parascolaires.

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Samir EL WALI

Lycéens – Ancien Lauréat 2014

Je m’appelle Samir EL WALI, un élève du lycée Zaytoun. Dans le cadre de la 12ème édition du programme Jeunes Reporters pour l’Environnement organisé par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’Environnement, j’ai participé avec les autres membres de mon groupe à cette compétition. Mes camarades et moi, nous avons choisi de travailler sur les plantes aromatiques et médicinales qui se trouvent en abondance dans notre région, et notamment le romarin. Nous avons choisi de travailler sur ce sujet car il s’agit d’une plante qu’on peut utiliser dans plusieurs domaines comme la médecine, la cosmétique, la cuisine, … mais c’est aussi un moyen de promouvoir l’emploi et de combattre la pauvreté et la précarité. D’autre part, ce sujet a une relation directe avec l’environnement et la préservation des ressources naturelles. Et moi, en tant qu’élève et jeune reporter, mon but c’est de sensibiliser les élèves à la protection de l’environnement. Grâce à cette expérience, j’ai appris un bon nombre de choses. En effet, cette expérience a enrichi mon vocabulaire et m’a aidé à améliorer mes connaissances en français. J’ai appris aussi des méthodes pour chercher l’information.

En plus, cette expérience m’a ouvert une nouvelle voie. J’ai découvert que l’environnement c’est la vie et j’ai pris conscience du danger que présente la pollution sur l’environnement et sur nous- mêmes. Il faut savoir que c’est la préservation de l’environnement qui va assurer notre avenir et celui des générations futures. La pollution est un phénomène qui a plusieurs origines, mais il y a surtout deux facteurs majeurs : l’origine humaine qui en est la cause principale et malheureusement c’est lui la première victime de cette menace et qui peut même mener à l’extinction de l’espèce humaine. Cela se manifeste bien évidemment dans plusieurs phénomènes comme le réchauffement climatique, la destruction de la couche d’ozone, …

Vraiment c’est une expérience qui m’ouvre la porte pour connaître l’importance de la protection de l’environnement, et dès cet instant, je vais essayer de mettre toute ma force et mon énergie pour mettre fin à cette pollution et pour participer d’une façon active et dynamique à la sauvegarde de l’environnement de notre planète.

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ELGDAOUNI Hind

Lycéenne – Ancienne Lauréate

Pas simple de retracer l’expérience et les moments inoubliables que j’ai vécu dans le club des jeunes reporters pour l’environnement en quelques lignes. Cette partie très importante de ma vie ! Elle m’a aidé à forcer ma confiance en soi, montrer mes compétences et développer mes capacités, travailler en groupe, être crédible et responsable… Bref, cette partie m’a beaucoup aidé à être ce que je suis maintenant ! Avec le club des jeunes journalistes pour l’environnement, j’ai eu la chance d’aborder des sujets importants pour ma société généralement et qui me concernent spécialement. Comme jeune journaliste, ma mission est de montrer à mon entourage l’importance de l’environnement et de le sensibiliser aux dangers qui le menacent. Et c’est ici que le travail du groupe fonctionne. Nous essayons moi et les autres jeunes journalistes de faire des enquêtes et des reportages avec les habitants. Nous transmettons ce qu’ils nous disent dans des articles que nous présentons aux activités organisées au lycée pour mettre en valeurs les problèmes dont souffrent notre ville et aussi pour leur trouver des solutions ensemble. Pour moi, être jeune journaliste pour l’environnement est une grande fierté, car cela me permet d’être membre actif dans ma société, et me donne l’espoir que je peux faire un changement au futur.

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Asmae MOUHAB

Lycéenne – Ancienne Lauréate 2014

Premièrement je tiens à remercier notre professeur qui nous a donné cette occasion pour participer à ce programme, découvrir l’environnement, connaître le sens du travail collectif, comment faire des recherches sur le terrain, comment un journaliste doit être … aussi j’ai remarqué qu’il y a beaucoup d’élèves qui veulent participer à ce concours mais le problème c’est le manque des professeurs encadrants !! Pour moi, ce programme est très intéressant et très important, donc on doit encourager les professeurs à gérer des travaux qui ont un rapport avec l’environnement, car notre planète est en danger et beaucoup de plantes et d’animaux sont en voie de disparition. Avec notre professeur, nous avons vu un grand nombre de reportages écrits par les JRE pendant ces dernières années : les ordures, les décharges publiques, la pollution de l’eau, le déboisement, la fumée des usines, les déchets des hôpitaux, les eaux usées utilisées pour irriguer les terres agricoles … Mais la question qui se pose c’est de savoir si les responsables font quelque chose pour corriger ces problèmes, ou alors personne ne lit ces reportages. Franchement, lorsque vous lisez les reportages des jeunes reporters, ça fait peur. Alors je demande au gouvernement de prendre en considération ces recommandations.

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Chayma BENCEKRI

Etudiante – Ancienne Lauréate

I am Chayma BENCEKRI, a high school student, and I am 16 years old. I like observing and studying, for example observing and studying environment and its changes. I also like traveling and discovering new things, new cultures, etc.

During my first year in high school, I was a member of the environment club’s young reporters. My mission was taking pictures and writing articles.

Being a reporter brings me a great happiness and joy. It was one of the best experiences I ever had, it allowed to me the opportunity to discover a lot of things about environment, and it helps me to learn and develop different skills, such as writing reports and articles, photographing, making presentation, and developing my team work side. Furthermore, it helps me improve my personal qualities such as patience, organization, hardworking, respecting others’ opinion, etc. Now I find myself with more improved skills, habits and manners, so I can influence my surrounding.

As a young reporter for the environment I have a letter for the world “Earth is our treasure we must save it”

THANK YOU YOUNG REPORTERS FOR THE ENVIRNMENT

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